Qui est-il/elle ?

Tous les enfants grandissent. Sauf un.

Tom, c'est le Peter-Pan des temps moderne, l'enfant qui ne veut pas grandir, qui ne fait que croire. Oh oui, Peter-Pan, c'est comme ça que tout le monde devrait l'appeler.

Thomas O'Malley. L'un des ados les plus mystérieux du monde. Enfin, pour lui c'est ce qu'il est. Il ne se comprend pas lui même, il faut dire. Macho de première classe, il est d'un charme envoûtant et d'un charisme incroyable. Il est plutôt extravertis et se moque un peu du ridicule. Ne pariez jamais contre lui au jeu de ''J'te gage que t'es pas capable de...'' vous vous ferez planter.
Il n'aime pas particulièrement l'école, mais se décroche tout de même de belles notes, bien qu'il lui arrive très souvent de sécher ses cours par lâcheté. Il fait attention à son style et porte une attention particulière à sa popularité.Monsieur possède sa petite bande et ne la perdrait pour rien au monde. Ils sont tout ce qu'il possède. Adorateur de musique, il joue de la guitare, de la base et de la batterie depuis son plus jeune âge et écoute continuellement les chansons qu'il aime (attention, il en possède une panoplie, d'ailleurs, il possède une bibliothèque de CD incroyablement fournie). Parlant de CD, le fait que ceux-ci pourrait disparaître de la surface du monde, remplacés par les musiques téléchargées et mp3 lui fait peur, car il vous un culte à ces petits disques compacts si précieux à ses yeux. Tom, c'est un type bien, malgré qu'il ne soit pas la personne la plus fréquentable du monde. Il est un petit être adorable dont tout le monde aime la compagnie... enfin.. presque tout le monde. Il possède un humour unique charmeur et ne s'empêche jamais de lancer de bonnes vannes quand il lui en vient en tête. C'est le genre de type qui va tout faire pour rendre ses amis heureux... mais vraiment tout. Il n'abandonne jamais rien, que se soit un projet ou autre chose, quitte à se péter le bras. Quoi que cela fait de lui un être plutôt rancunier, il faut l'avouer.  Mais en général, il n'est pas quelqu'un de violent, contrairement à son père.
Faire la fête, boire, danser, il adore ça. Boire à en perdre la carte, ça lui est arrivé souvent. Et c'est avec plaisir que ses amis lui rappelle ces petits exploits honteux de la veille. Mais en même temps, il s'est souvent fait des amis, dans ce genre de soirée.
Il est de nature plutôt enfantine. Il n'aime pas l'idée de grandir et adore son monde tel qu'il est maintenant. Les responsabilités lui font peur, il n'aime pas voir son monde changer, d'où le surnom Peter Pan. Il aime croire à plein de choses idiotes, mais comment le blâmer, si c'est ce qui lui fait garder la tête hors de l'eau?  Fuir, fuir c'est toujours ce qu'il fait de mieux. Avant, quand quelque chose le dérangeait, il avait tendance à faire des fugues ou des trucs dans le genre. Fuir les cris de son père ou les pleurs de sa mère, ou les deux peut-être.
Ce qu'il aime? La musique, les road trips, ses potes, le skate, la moto, les bouquins (étonnant, non?), boire, faire la fête, son style, ses tattoos, bref, un mélange de tout ça.

À ses 15 ans, il se croyait total hétéro, avec sa bande de potes à aborder les demoiselles. Puis peu de temps après, il s'est mit à apprécier les garçons. Au diable les filles. Dès lors il se croyait homo.
Puis il est retourné aux filles.
Puis aux gars.
Puis aux filles... Enfin, vous comprenez? Bisexuel alors. Sauf que ce qu'il ne comprend pas, c'est qu'il n'aime jamais les deux sexes en même temps. Jamais. Si c'est les hommes qui le branche, l'idée d'être en couple avec une fille le répugne. Puis quand son addiction aux sexe semblable passe, c'est le contraire. Vous voyez? Ce détail l'agace particulièrement.
D'ailleurs, lorsque vient le temps d'aimer les hommes, ils se tient beaucoup plus avec les femmes, et vise et versa.

Comme cité plus haut, Tom est un charmeur, et il est d'une attention incroyable avec ses amis. Certes, il à tendance à être rancunier et un peu macho. Son charme est venu tout seul, et l'attention vient de ses amis (surtout pas de ses parents!). Il est probablement rancunier à cause de son père, qui lui à malheureusement inculqué cette valeur. Et puis le fait d'être macho... et bien, il à choisi d'être ainsi, il faut croire!

Son physique

Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.

Il n'a pas réellement besoin de prendre autant de temps pour ses beaux cheveux bruns foncés. Mais il aime tellement prendre soin de son allure... laissons-le donc faire! Il les coiffent pendant des heures pour leur donner finalement une allure en bataille. Oui, tout ça pour un toupet court et en bataille. Ça en est presque ridicule. Sa grande taille lui va bien, lui grand jeune homme de 18 ans. Oui, c'est la taille normale des adolescents. En générale, je veux dire. Il porte toujours sa veste en cuire avec une camisole blanche, ou bien des T-shirts de groupes musicaux très connus. Des vestes Vans, des jeans... Ah! Des bas de laines typiques et ses Converse noirs qu'il chéri tant. C'est son style. Il ne porte que ça, et ça lui va bien. Son teint pâle fait ressortir ses beaux yeux verts... pourquoi vert me fait penser, là encore, à Peter Pan? Cette idée ne me sortira donc jamais de la tête, à ce que je vois!

Son vécu ?

Jamais, c’est terriblement long...

NOTE DE L'AUTEUR DE TOM

Avant que le narrateur débute le récit de ma propre histoire, j'aimerais, avant tout, vous faire des spécifications. Sachez, que ce que vous lirez ne sera pas une histoire rose, oh non, j'en suis la preuve vivante. Mais n'ayez crainte, elle se termine bien. Je n'ai pas encore atteint le stade de ''Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants'', mais cela viendra... enfin j'espère!

Alors, comprenez que je n'ai pas été un enfant désiré. Un banal accident, un homme qui n'aurait pas du être là. Mes parents me désiraient pas. Surtout mon père. Ma mère, au moins une fois dans sa vie, n'a pas fait ce qu'à dit mon père, elle n'a pas voulu se faire avorter. C'était contre ses valeurs, même si elle ne me voulait pas. Comme toute bonne mère, elle a su m'aimer en me voyant grandir dans ses entrailles. Elle à apprit à aimer l'enfant qu'elle portait. Ce qui explique donc son amour pour moi. Mon père contrairement à elle, ne m'a pas porté, et n'a jamais su m'aimer comme il fallait.

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00. PROLOGUE

Tom est né dans une ville des États-Unis. Vous voulez savoir laquelle? Indianapolis. Contents? Bien, continuons. Il vivait dans une maison de riche, une maison énorme dans laquelle il aurait tout aussi bien pu se perdre. J'exagère, ce n'était tout de même pas un manoir, mais une grande maison. Disons que la maison allait avec le salaire du vieux. Celui-ci portait toujours des chemises blanches, ou bleu très pâle, rentrées dans ses longs pantalons noirs d'homme d'affaire. Il avait le look qui lui allait. Homme d'affaire. Ce qui explique la maison et tout le tralala. La dame de la maison, quant à elle, était une folle amoureuse de son mari. Elle vivait, respirait pour lui, elle était naïve et complètement aveugle, mais bon, comment lui en vouloir, à cette pauvre femme? En fait, ne répondez pas. Je sais qu'il est très facile de lui en vouloir à elle aussi. Elle était bien payé, secrétaire, qu'elle était. Elle était gentille, mais aveuglé par son mari qui, je précise, profitait d'elle.
Tom n'a jamais été désiré par ce couple, comme il à su le préciser tout-à-l'heure.
La femme – Jane S. O'Malley – à vite su aimer cet enfant, contrairement à l'homme – Patrik O'Malley – qui n'a jamais vraiment aimé son fils. Tom à grandi sous l'aile de sa mère, développant peut-être ainsi son côté plus féminin, coquet. Son père n'a jamais porté attention à lui, si ce n'est qu'un regard froid et haineux tous les jours.

- Narrateur?

- Hum, oui, Tom?

- Laissez moi continuer, je vous pris.

- La parole est à vous, jeune homme. Après tout, c'est votre histoire. Vous saurez mettre les bons mots sur les souvenirs...

Alors, comme le narrateur l'a mentionné, mon père ne s'occupait pas de moi. Il ne m'a jamais montré à faire du BBQ, ou bien à chasser, ou même jouer au Baseball avec moi, pas même une seule fois. C'est à peine si il ne me crachait pas dessus quand il me voyait.

Ça. C'est quand j'étais jeune. Quand j'ai atteins mon adolescence, ma puberté, mon désir de liberté, c'est LÀ, que le cauchemar à commencé.

01.  CAPTIVITÉ

J'avais l'une des plus petites pièces de la maison. Même la chambre d'invité était plus grande.
Je disposais de 4 murs beiges pour me ternir compagnie. Ça ne m'a jamais vraiment dérangé, j'ai de bons talents de décorateur. J'y passais le plus clair de mon temps, car quand je sortais j'avais l'impression que ce type ne faisait que me regarder. Son regard était lourd, froid, tellement pesant.

J'avais des amis, mais pas en dehors de l'école. Mon père ne voulait jamais que je sorte, et ma mère prenait toujours la défense de mon père, même quand il avait tord. Elle lui faisait ses yeux de biche en chaleur – Ça me donnait la nausée, d'ailleurs – , elle dandinait devant lui, elle voulait son attention; mais quand j'étais dans la pièce, mon père n'avait de yeux que pour moi. Il me regardait, serrait la mâchoire jusqu'à ce que je n'en puisse plus et que je parte.
Ce n'était pas si mal.
À l'époque, j'avais dans les... 13 ans.
Quand j'ai eu 14 ans, il s'est mit à me donner toutes sortes de tâches absurdes... Laver le plancher avec une petite brosse, par exemple. Nous avions une femme de ménage pour faire ce genre de chose...

C'est à cet âge que j'ai désiré avoir ma propre guitare. Avant cela, j'empruntais celle de l'école pour en jouer. Mon père en possédait une très vielle. Il ne l'utilisait jamais, mais vraiment jamais. Je me suis dit que je pourrais toujours lui demander de me la prêter... Il m'a répondu que cette guitare était mille fois plus importante à ses yeux que je l'étais et que jamais, même lorsqu'il mourrai, je n'aurai cette stupide guitare. Je ne pouvais pas même toucher l'une de ses cordes. Ça faisait mal, d'être plus insignifiant qu'une vielle guitare.

02. EXPLOSION

15 ans. Là, la guerre à été officiellement déclarée. Un soir, je suis rentré tard de l'école. À cette époque, j'avais une copine. Nous avions passé la soirée ensemble jusqu'à ce qu'elle m’entraîne vers le parc. Ce petit parc avec une aire de jeux abandonnée. Ce soir là, elle m'a laissé. Je suis rentré chez moi, triste, et encore plus seul que je ne l'étais déjà. Pire encore, je suis tombé sur une bande de mec. On s'est tapé dessus, je me suis retrouvé amoché, mais au moins, j'ai pu rentrer chez moi.
J'ai ouvert la porte, et j'ai trouvé mon père assis à la table, seul. Ma mère travaillait tard ce soir, j'étais coincé avec cette merde.

« Tu rentres tard. » il a dit, sèchement.
J'étais triste, en pleine crise d'adolescence et le taux de testostérone dans le plafond. J'ai rétorqué, aussi sèchement que lui :

« Fou moi la paix. »

« PARDON? »

« T'AS BIEN EN TENDU! »
Il a serré les dents, il m'a regardé alors que je me dirigeais vers ma chambre, et il à lancé dans mon dos, un sourire en coin.

« Qu'ai-je mérité pour avoir un garçon, non seulement fif, mais aussi lavette? »
Je me suis arrêté, j'ai serré les points, sans me retourner. Je commencais à ce moment à comprendre que j'appréciais les garçons. L'avait-il deviné? Il faisait exprès le salaud. J'ai monté les marches quatre à quatre, j'ai ouvert ma porte avec fracas et j'ai écouté de la musique jusqu'à ce que j’oublie, et que je m'endorme.

03. INSUBORDINATION

16 ans. Cela faisait maintenant 16 ans que j'endurais. 16 ans que j'endurais son regard. Et 3 ans que j'endurais ses méchancetés, ses répliques, ses sales coups... tout.
Je suis rentré un soir. Depuis trois ans, même mes amis ne réussissaient plus à me redonner le sourire. Je savais, ce soir là, que ma mère travaillait tard et qu'elle dormait chez sa sœur. Je m'attendais au pire, j'ai donc pris mon temps pour rentrer.

Finalement, le pire que j'imaginais n'était pas le pire que tout cela pouvait atteindre. Lorsque j'ai poussé  la porte, deviné ce que j'ai vu?
Des bouteilles, vides pour la plupart, qui jonchaient le sol et la table de la cuisine. J'ai avancé doucement, sans faire de bruit, espérant qu'il dormait, ou qu'il était tombé dans un coma éthylique quelque part dans un coin. J'aurais bien aimé. J'ai monté les marches.

Il m'attentait, il était là. Il sentait l'alcool, il était saoul. Pour la première fois de toute ma vie, mon père me faisait peur. Il m'a empoigné par les épaules, et ma plaqué contre le mur. Fort. J'ai porté ma main derrière mon crâne dans un gémissement, j'entendais l'écho dans ma tête, le choc avait été rude. Il s'est approché de mon visage, et il m'a simplement murmuré :

« Tu n'es qu'un fils indigne, tu aurais du mourir alors que c'était légal de te tuer. Je ne te laisserai pas gâcher ma vie. Je ne te laisserai rien dire à ta mère. »
Il était fou, dingue. Malade dans sa tête.
Il à éloigné son point difficilement, dans le vain espoir de me frapper à grand coup de point. Il m'avait giflé plusieurs fois dans ma jeunesse, mais le coup de point, ça jamais!
Dans un ultime effort de me libérer, je poussa. Il chancela avant de s'affaler sur le mur d'en face. J'en profita pour tourner, entrer dans ma chambre et verrouiller la porte. Je respirais mal. Ma poitrine me faisait souffrir, mon cœur s’emballait, et mon crâne menaçait de s'ouvrir. Je porta ma main une nouvelle fois derrière ma tête : ça saignait.

Il à crié, il s'est cogné le nez à la porte verrouillée une bonne partie de la nuit. À un moment il à du commencer à dégriser, car il est parti. Pendant tout ce temps, j'ai ramassé tout l'argent que j'avais économisé, durant ces 16 ans d'enfers. Un montant plus gros que je l'imaginais. C'était donc l'avantage de  ne jamais sortir. J'ai fourré tout ce que je pouvais dans un sac à dos. J'ai pris ma collection de CD, de vinyles. Aux risques de les casser, je les apportais. Ils étaient ma famille maintenant. J'ai attendu l'aube. J'ai attendu les bruits de pneus de ma mère dans l'entrée. J'ai attendu le : « Bonjour mon amour! » de ma mère. J'ai failli vomir, mais ça, c'est un détail. J'ai déverrouillé, j'ai descendu en trombe, mon sac sur l'épaule. Je me suis dirigée vers la vielle guit' de mon père, celle qui était plus importante que moi.

« Thomas O'Malley! Qu'à tu fais bon sang! Tu as bu!? As-tu vu toute cette pagaille?! »
Ma mère criait. La pauvre.
J'ai ris, j'ai empoigné le manche de la guitare et je me suis retourné.
« Parce que ce connard t'a fait croire que c'était MOI qui avait bu? Que c'est MOI qui ai voulu frapper MON fils? Je t'en pris maman. Tu es aussi tarte que lui. »
« THOMAS?! »
Elle criait, elle voulait s'arracher les cheveux. Je regardais derrière elle. Je toisais ce connard, les mains moites, tenant cette foutue guitare entre mes doigts.
Puis, dans un ultime sourire, il a dit :

« T'es qu'un pauvre type. Un gay qui couche avec tout ce qui bouge. T'as peur de le dire. » Il avait prononcé chaque syllabe avec une telle attention. Je lui ai souris. Il me croyait incapable, c'est ce qu'il avait voir.

« Tu crois? » je me suis tourné vers ma mère « Maman, je m'excuse d'avance pour les dégâts que je causerai dans ta vie, mais ce salaud gâche la mienne depuis seize ans. Il à une maîtresse, c'est Marie, ta collègue. Il à aussi couché avec ta sœur. Je l'ai vu, je l'ai vu de mes yeux, il y à trois ans. »
J'ai vu ses grands yeux de perdu s'ouvrir comme une faille béante. Ma mère s'est retournée, bredouille. Je crois qu'elle s'en doutait depuis longtemps, mais qu'elle n'osait pas se l'avouer. C'était tellement drôle ça en était quasiment jubilatoire. Mais ma vengeance n'était pas terminé.

« Maintenant, c'est fini. Je pars, ne me cherche pas, ne me cherchez pas. Je pars loin, j'oublie cette vie je laisse tout derrière. Mais avant.. » J'empoignai le manche à deux mains, et balança la guitare sur le mur dans un fracas énorme. Des fragments et des cordes volèrent un moment avant de retomber au sol.
Je m’empressai de sortir alors que j'entendais les jurons de mon père s’étouffer dans ma course vers le garage, monta sur la moto que je m'étais payé il y à quelques mois, et je roula sur l'autoroute. Longtemps. Très longtemps. Avec l'argent, je pu me payer un billet d'avion allé-simple. Loin. J'étais libre. Et dans le vent, alors que j'oubliais mes parents, mes amis, je hurla à pleins poumons, heureux d'enfin pouvoir être moi.

04. ÉPILOGUE

Je suis arrivé en Angleterre il y à 2 ans. L'an passé, j'ai trouvé un endroit bien, où je me suis fais des amis. J’étudie, je suis au lycée. Je les ai tous oublié, j'ai tout laissé tombé derrière moi, sauf quelques trucs, comme mes disques. J'ai peur parfois. Mais la peur me fait sentir libre.
Je suis Libre maintenant.

Précisions

La mort doit être une belle aventure.

Tom à maintenant tout dépensé de la petite fortune qu'il possédait il y à des années. C'est sûr qu'un billet d'avion, et tout ce qu'il faut pour recommencer une vie à zéro, un peu normal qu'il n'ai plus un sous. Pourtant, il a réussi à se payer ses études. Avec ce qui restait, il s'est trouvé un petit appart miteux qu'il s'est vite dépêché à remettre sur pied. Maintenant qu'il n'a plus rien, il a dégoté un travail à temps partiel pour subvenir à ses besoins.

Tom est un garçon unique. Vous voulez des exemples? Il déteste les aiguilles, mais pourtant, il possède une grande manche de tatouages. « Un enfer de 5 heures.», qu'il s'amuse à dire. Il rêve de se faire faire un percing, mais il n'est pas encore fixé où. Il adore mettre des lumières de Noël blanches sur le plafond de sa chambre. Le résultat est bien réussi, je dois l'avouer. Il passe des heures à écouter de la musique et à lire mais déteste l'école. Parfois il y va uniquement pour pouvoir emprunter quelques livres puis repartir. Il déteste la tisane, et le thé, mais il adore le café. Surtout le Cappuccino. Lorsqu'il tombe sur des vieilleries, comme un walkman, oh ciel, c'est l'amour fou! Il ferme toujours la porte de sa  chambre à clef, même quand il est seul dans l'appart. Une habitude qui n'a jamais disparue. Il porte souvent un peu de parfum Playboy, une odeur exquise. Quand il achète un article dans des rayons de magasin, il prend toujours le troisième au fond. Lui même ne sait pas pourquoi. Il écoute souvent des disques musicaux ''Live'', le son au maximum. Ça lui permet de s'imaginer dans un concert ou quelque chose du genre. Son chiffre préféré est le 4, et il à déjà eu un hamster quand il était jeune. Bien sûr il l'a caché pour ne pas que ses parents le trouvent, mais il à oublié où. Il n'a pas eu d'autre animaux par la suite, de peur de les perdre. Il à déjà fantasmé sur Nathalie Portman et plus tard sur Josh Hutcherson, Lana Del Rey puis sur Channing Tatum. Il n'a pas de film préféré. Quand il sèche, il attend que la deuxième cloche ai sonnée pour quitter la cours du Lycée. Ah, et il est un grand amateur de chip BBQ.

who r u?

I can escape this now... Unless you show me how! ♫

On m'appelle Hossy, mais mon réel prénom est Jessica. Tout comme Tom, j'adore la musique, lire et mes amies, je suis aussi une grande fan des animaux. J'adore lire et écrire, j'aime la photographie, et j'adore IMAGINE DRAGONS ♥
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Comment le trouves-tu ? Très chaleureux ♥
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